C'est une année moyenne, pas autant de noisettes que les meilleurs années, mais elles sont grosses et sucrées.
vendredi 16 octobre 2009
a nuciola
Je reviens au mois de septembre, le 9 exactement, j'ai oublié de poster ce message...
Récolte de noisette chez des amis à Sorbo-Ocagnano. Ils habitent un magnifique chalet en bois, unique car totalement construit par eux ! Le terrain est superbe : maquis haut, chataigniers, noisetiers, pommiers, cerisiers.
C'est une année moyenne, pas autant de noisettes que les meilleurs années, mais elles sont grosses et sucrées.
C'est une année moyenne, pas autant de noisettes que les meilleurs années, mais elles sont grosses et sucrées.
lundi 5 octobre 2009
Asulana en vrai vacances
Haaa les vacances, ça fait du bien.... j'ai l'impression d'être toujours en vacances chez moi ici en Corse, mais les vrais vacances c'est quand je prends le bateau pour visiter le monde (et la France en particulier).
Direction les Pyrénées Orientales, la Catalogne côté français.
Le camp de base est situé dans la vallée de la Têt au village de Fontpédrouse, à deux pas des bains d'eau chaude naturelles de Saint Thomas.

Quel délice de se prélasser dans les piscines ouvertes, dont la température de l'eau frise les 36°C, avec des bulles dedans pour se faire masser... Il existe aussi de nombreuses sources d'eau chaude sauvages, mais malheureusement, elles sont archis connues et beaucoup trop de monde les fréquente.

La région offre des paysages et des ballades magnifiques, et on ne s'est pas privé malgrè la météo peut favorable et plutôt fraiche, mais après 4 mois à plus de 30° la fraicheur ça fait du bien!
Les lacs de la Bouillouses et le Carlit :


La vallée de l'Orry :

Vivement les prochaines vacances !
Direction les Pyrénées Orientales, la Catalogne côté français.
Le camp de base est situé dans la vallée de la Têt au village de Fontpédrouse, à deux pas des bains d'eau chaude naturelles de Saint Thomas.
Quel délice de se prélasser dans les piscines ouvertes, dont la température de l'eau frise les 36°C, avec des bulles dedans pour se faire masser... Il existe aussi de nombreuses sources d'eau chaude sauvages, mais malheureusement, elles sont archis connues et beaucoup trop de monde les fréquente.
La région offre des paysages et des ballades magnifiques, et on ne s'est pas privé malgrè la météo peut favorable et plutôt fraiche, mais après 4 mois à plus de 30° la fraicheur ça fait du bien!
Les lacs de la Bouillouses et le Carlit :
La vallée de l'Orry :
Vivement les prochaines vacances !
vendredi 25 septembre 2009
Enfin un guide touristique serieux ?
Dans la jungle des guides touristiques il en est un qui est original de part sa conception et donc de ses adresses. Son nom : "Serious guide".
J'ai été contacté au début de l'année par une personne travaillant pour ce guide et qui était interessé par mes récits sur mes randonnées en Corse. Elle m'a demandé si elle pouvait se servir de mes récits pour le guide "Corse" qui était en chantier. J'ai bien sur accepté, surtout que je n'avais rien à faire. J'ai reçu fin aout 2009 le guide sur la Corse par la Poste.

Au premier abord, il est différent des guides traditionnelles, sa mise en page, ses adresses et son humour omniprésent font que ce guide est une réussite (même si il y a encore quelques fautes que je repertorie pour corriger lors de la version 2 de ce guide). Je suis en train de le lire en profondeur et c'est très sympathique, les adresses sont originales (bien que certaines soient connues) et il y a pas mal de bons plans (charcuterie, fromages, campings, boutique ou restaurant ...)
Vous pouvez télécharger un exemple du guide Corse ici :
Télécharger un extrait
Et visitez le site :
http://www.seriousguide.fr
J'ai été contacté au début de l'année par une personne travaillant pour ce guide et qui était interessé par mes récits sur mes randonnées en Corse. Elle m'a demandé si elle pouvait se servir de mes récits pour le guide "Corse" qui était en chantier. J'ai bien sur accepté, surtout que je n'avais rien à faire. J'ai reçu fin aout 2009 le guide sur la Corse par la Poste.

Au premier abord, il est différent des guides traditionnelles, sa mise en page, ses adresses et son humour omniprésent font que ce guide est une réussite (même si il y a encore quelques fautes que je repertorie pour corriger lors de la version 2 de ce guide). Je suis en train de le lire en profondeur et c'est très sympathique, les adresses sont originales (bien que certaines soient connues) et il y a pas mal de bons plans (charcuterie, fromages, campings, boutique ou restaurant ...)
Vous pouvez télécharger un exemple du guide Corse ici :
Télécharger un extrait
Et visitez le site :
http://www.seriousguide.fr
jeudi 3 septembre 2009
Monte Cintu
Cette semaine direction le Haut-Ascu pour gravir le toit de la Corse : le Monte Cintu (2706m). De la maison jusqu'à l'ancienne station de ski de Ascu il faut bien 2 heures de routes sinueuses et c'est seulement à 6h30 que j'arrive au plateau de Stagnu.
Il y a quelques voitures et des randonneurs qui se préparent, surement pour faire la même rando que moi. Vite je mets les chaussures, je prends le sac à dos et le chien, bip la voiture : je veux être le premier à décoller du parking, il est 6h45. La première partie est très roulante et j'arrive vite au pieds des premières difficultés. Tino a du mal à escalader mais il trouve toujours un autre chemin pour me suivre.
Le chemin monte raide, souvent il faut s'aider des mains , il emprunte une vallée impressionnante dominée par le Cintu au fond et la Tour Penchée, penchée...
J'arrive au Lac de l'Argentu, la face nord du Cintu nous domine de toute sa hauteur. Le chemin grimpe fort sur un immense pierrier. Beaucoup plus bas j'aperçois sur le chemin quelques randonneurs qui montent vers le Lac. Ça y est on arrive au col, le soleil nous inonde et la vue s'ouvre à nous : le Ritondu, La punta Artica, la punta Licciola et la Paglia Orba...

La dernière partie de la rando est un peu en yo-yo, ça monte, ça descends. J'aperçois sur un éperon rocheux à une centaine de mètres devant moi 2 mouflons qui me regardent, le temps de trouver l'appareil photo, ils avaient disparut dans les rochers. Enfin on atteins la cheminée finale qui s'avale sans difficultés, nous voici sur le toit de l'île, il est 9h00
Pause spuntinu au sommet, puis nous reprenons le même chemin que pour la montée. Je croise pas mal de randonneurs de toutes nationalités (thèques, slovaques, espagnols et un français solitaire). Arrivée au niveau du Lac de l'Argentu, j'entends des voix venant de la face nord. Je scrute la face et j'aperçois au début de la voie royale pour le Cintu 2 alpinistes qui escaladent la Kalrsruhe, une voie d'escalade difficile et engagée.
On continue la descente et vers 12h00 on arrive au parking qui est bien chargé maintenant, surtout la terrasse du restaurant le Chalet pleine de gourmands.
Je rentre mon bazar dans la voiture et direction la côte Est pour retourner a la maison : j'ai envie d'une bonne douche...
Il y a quelques voitures et des randonneurs qui se préparent, surement pour faire la même rando que moi. Vite je mets les chaussures, je prends le sac à dos et le chien, bip la voiture : je veux être le premier à décoller du parking, il est 6h45. La première partie est très roulante et j'arrive vite au pieds des premières difficultés. Tino a du mal à escalader mais il trouve toujours un autre chemin pour me suivre.
Le chemin monte raide, souvent il faut s'aider des mains , il emprunte une vallée impressionnante dominée par le Cintu au fond et la Tour Penchée, penchée...
J'arrive au Lac de l'Argentu, la face nord du Cintu nous domine de toute sa hauteur. Le chemin grimpe fort sur un immense pierrier. Beaucoup plus bas j'aperçois sur le chemin quelques randonneurs qui montent vers le Lac. Ça y est on arrive au col, le soleil nous inonde et la vue s'ouvre à nous : le Ritondu, La punta Artica, la punta Licciola et la Paglia Orba...
Le Cintu et le chemin qui reste à faire sur la crête
La dernière partie de la rando est un peu en yo-yo, ça monte, ça descends. J'aperçois sur un éperon rocheux à une centaine de mètres devant moi 2 mouflons qui me regardent, le temps de trouver l'appareil photo, ils avaient disparut dans les rochers. Enfin on atteins la cheminée finale qui s'avale sans difficultés, nous voici sur le toit de l'île, il est 9h00
Pause spuntinu au sommet, puis nous reprenons le même chemin que pour la montée. Je croise pas mal de randonneurs de toutes nationalités (thèques, slovaques, espagnols et un français solitaire). Arrivée au niveau du Lac de l'Argentu, j'entends des voix venant de la face nord. Je scrute la face et j'aperçois au début de la voie royale pour le Cintu 2 alpinistes qui escaladent la Kalrsruhe, une voie d'escalade difficile et engagée.
On continue la descente et vers 12h00 on arrive au parking qui est bien chargé maintenant, surtout la terrasse du restaurant le Chalet pleine de gourmands.
Je rentre mon bazar dans la voiture et direction la côte Est pour retourner a la maison : j'ai envie d'une bonne douche...
mercredi 2 septembre 2009
mercredi 26 août 2009
Monte Ritondu
La semaine dernière du haut du monte d'Oru, on avait une vue superbe sur le massif du Ritondu. Évidemment cela ne pouvait que me motiver pour faire une randonnée dans ce tas de cailloux au loin.
Il est encore très tôt et nuit noire (5h45) lorsque je gare la voiture dans la vallée de la Restonica au niveau de pont de Timozzu (1030m). Un panneau indique : Bergeries de Timozzu 1h30, Lac de l'Oriente 2h50 et Monte Rotondo 5h. Rapidement, après une petite mise en jambe sur une simili piste de 4x4, ça monte raide et en zigzag, il fait déjà chaud. Comme le début de la ballade se passe en forêt, j'ai allumé ma lampe de poche pour ne pas trébucher sur un caillou. Je sors de la forêt et je passe en vue des bergeries de Timozzu, que j'évite pour ne pas faire un détour.
Une petite pause pour se restaurer et c'est reparti pour la dernière partie de l'ascension. Celle-ci se fait rapidement et j'arrive à l'abri Helbronner qui est juste sous le sommet. Deux randonneurs qui ont passés la nuit là se reveillent quand je passe, une dernière petite cheminée à escalader, Tino n'y arrive pas, je lui dit de m'attendre en bas et je suis sur la partie la plus haute du massif (2622m), il est 8h20. Je prends quelques photos et je vois Tino, qui a contourné la difficulté en passant au bord du précipice, qui me rejoins. Jamais je n'aurais eu le cran de passer par là...
Je n'ai pas envie de descendre par le même itineraire, je décide de passer en face sud pour contourner le sommet et descendre par une vallée différente.
Le chemin (enfin des cairns) passe par le col du fer de lance et descend direct sur le Lac de Bettaniella (nommé Lac de Bellebone sur les cartes IGN), Tino y va en courant et se baigne immédiatement dans sa fraicheur (Il est gelé 7 mois dans l'année et le reste du temps il doit être bien froid, j'ai pas testé).
Maintenant il faut trouver un passage pour rejoindre, sans perdre trop d'altitude, la vallée voisine. J'emprunte un couloir assez raide, mais Tino me fait comprendre qu'il ne pourra grimper comme moi ici, il faut trouver un autre chemin. On est obligé de descendre encore plus bas et enfin on trouve un passage. Il nous reste à remonter cette vallée et pour atteindre la Maniccia et basculer sur le versan nord. Nous passons a proximité de la station météo automatique qui indiquait 4,5mètres de neige cet hiver ! aujourd'hui il ne reste rien...
On gravit aisément le sommet en éboulis de la Maniccia (2496m), on croise un troupeau de brebis qui arpente le sommet et zou ! c'est parti pour la descente dans la magnifique vallée de Cavacciole. C'est une vallée que je connais bien pour l'avoir à maintes fois descendu en snowboard, mais en été pas question de glisser : ça descend sec.
Ça y est on aperçoit en petit, tout en bas, les bergeries de Grottelles et le parking déjà pleins de voitures. La descente est difficile car on croise beaucoup de ravins et de cascades, Tino n'en peux plus, il s'est blessé à la patte sur les rochers saillants du sommet. Mais nous arrivons à la route, au milieu des randonneurs qui vont au Lac de Melu, changement d'ambiance...
On prend le petit chemin qui longe la rivière, 6 km plus bas notre voiture nous attends.
Il est 12h30 quand on retrouve notre voiture : superbe randonnée, ce massif est vraiment magnifique. Je regrette juste d'avoir oublié mon appareil photo (les photos ont été faite avec mon téléphone...), mais ça me donnera l'occasion de refaire une visite pour faire des photos...
Il est encore très tôt et nuit noire (5h45) lorsque je gare la voiture dans la vallée de la Restonica au niveau de pont de Timozzu (1030m). Un panneau indique : Bergeries de Timozzu 1h30, Lac de l'Oriente 2h50 et Monte Rotondo 5h. Rapidement, après une petite mise en jambe sur une simili piste de 4x4, ça monte raide et en zigzag, il fait déjà chaud. Comme le début de la ballade se passe en forêt, j'ai allumé ma lampe de poche pour ne pas trébucher sur un caillou. Je sors de la forêt et je passe en vue des bergeries de Timozzu, que j'évite pour ne pas faire un détour.
En hiver 1997, j'ai passé une nuit en pleine tempête de neige dans ces bergeries. La carte indiquait un abri, mais toutes les bergeries étaient cadenassées et seule une petite cabane en pierre était ouverte, forcément il n'y avait plus de porte. J'ai eu du mal à faire du feu dans la petite cheminée et a réchauffer une soupe tellement la tempête était forte, et la nuit fût dure et froide. Mais le lendemain, quel bonheur de se trouver dans ce paysage recouvert d'un épais manteau blanc et doux prêt à recevoir mes coups de carres et de spatules.Bref, je m'égare : ce matin, je ne m'arrête pas aux bergeries et je continue sur ma lancée vers le sommet. J'arrive au Lac de l'Oriente (2061m) 1h30 après avoir quitté ma voiture. On voit enfin le sommet et le couloir que l'on doit emprunter.
Une petite pause pour se restaurer et c'est reparti pour la dernière partie de l'ascension. Celle-ci se fait rapidement et j'arrive à l'abri Helbronner qui est juste sous le sommet. Deux randonneurs qui ont passés la nuit là se reveillent quand je passe, une dernière petite cheminée à escalader, Tino n'y arrive pas, je lui dit de m'attendre en bas et je suis sur la partie la plus haute du massif (2622m), il est 8h20. Je prends quelques photos et je vois Tino, qui a contourné la difficulté en passant au bord du précipice, qui me rejoins. Jamais je n'aurais eu le cran de passer par là...
Je n'ai pas envie de descendre par le même itineraire, je décide de passer en face sud pour contourner le sommet et descendre par une vallée différente.
Le chemin (enfin des cairns) passe par le col du fer de lance et descend direct sur le Lac de Bettaniella (nommé Lac de Bellebone sur les cartes IGN), Tino y va en courant et se baigne immédiatement dans sa fraicheur (Il est gelé 7 mois dans l'année et le reste du temps il doit être bien froid, j'ai pas testé).
Maintenant il faut trouver un passage pour rejoindre, sans perdre trop d'altitude, la vallée voisine. J'emprunte un couloir assez raide, mais Tino me fait comprendre qu'il ne pourra grimper comme moi ici, il faut trouver un autre chemin. On est obligé de descendre encore plus bas et enfin on trouve un passage. Il nous reste à remonter cette vallée et pour atteindre la Maniccia et basculer sur le versan nord. Nous passons a proximité de la station météo automatique qui indiquait 4,5mètres de neige cet hiver ! aujourd'hui il ne reste rien...
On gravit aisément le sommet en éboulis de la Maniccia (2496m), on croise un troupeau de brebis qui arpente le sommet et zou ! c'est parti pour la descente dans la magnifique vallée de Cavacciole. C'est une vallée que je connais bien pour l'avoir à maintes fois descendu en snowboard, mais en été pas question de glisser : ça descend sec.
Ça y est on aperçoit en petit, tout en bas, les bergeries de Grottelles et le parking déjà pleins de voitures. La descente est difficile car on croise beaucoup de ravins et de cascades, Tino n'en peux plus, il s'est blessé à la patte sur les rochers saillants du sommet. Mais nous arrivons à la route, au milieu des randonneurs qui vont au Lac de Melu, changement d'ambiance...
On prend le petit chemin qui longe la rivière, 6 km plus bas notre voiture nous attends.
Il est 12h30 quand on retrouve notre voiture : superbe randonnée, ce massif est vraiment magnifique. Je regrette juste d'avoir oublié mon appareil photo (les photos ont été faite avec mon téléphone...), mais ça me donnera l'occasion de refaire une visite pour faire des photos...
lundi 24 août 2009
Poissons frais
Les poissons de l'étang viennent profiter des bouts de pains et autres friandises lancées par les gourmands du restaurant.
Il y en a tellement qu'on a l'impression de manger sur un aquarium !
mercredi 19 août 2009
U monte d'Oru
En ce moment j'ai des envies de randonnées en montagnes. Seul, à mon rythme et surtout par le chemin que je veux.
La semaine dernière du haut de la Punta di l'Oriente, j'avais une vue magnifique sur le Monte d'Oru et cela m'a donné envie d'y faire un tour.

Ce matin réveil 4 heures et c'est parti pour une bonne heure de route pour atteindre la gare de Vizzavona, bien connue des randonneurs du gr20. Il fait encore bien noir quand je quitte la voiture, je suis obligé de sortir ma lampe pour trouver le chemin.
Je marche vite, les oiseaux commencent à chanter au fur et a mesure que l'obscurité se fait plus lumineuse. Et j'atteinds les bergeries ruinées de Pinzutella au moment où le soleil se décide enfin à se lever.

Je quitte la forêt, les choses sérieuses vont commencer, il me reste un peu moins de 900m de dénivelé et pourtant le sommet est si proche (sur la carte). Il faut passer par la Scala qui est un couloir assez raide, envahie par les rochers et où la neige reste souvent tard dans la saison (en cette fin aout, il ne reste plus qu'un névé au pied du couloir).
La montée dans la Scala n'est pas trop dure et justement comme c'est raide, je monte facilement et rapidement. Je dois pousser Tino à plusieurs endroits car il n'arrive pas à escalader facilement.
Le sommet est en vue cela fait un peu plus de 2h00 que que l'on marche, Tino me prévient qu'il y a du monde pas loin et en effet on croise un troupeau de brebis très sympathique.

Je rejoins la voie normale pour terminer l'ascension et passer par la cheminée qui mène au point culminant à 2389m. Tino m'attend en bas, il ne peut pas escalader et puis il y a des brebis à surveiller... de loin.
Je rejoins Tino qui m'attend sagement et on commence la descente par la voie normale. Une petite pause pour déguster quelques gâteaux secs préparées par ma chérie, un petit coup d'œil sur le portable car je suis sensé bosser ce mercredi et je descends en courant, coupant à vue vers le GR20 que j'aperçois plus bas. Je croise les premiers randonneurs qui montent au sommet par la voie normale, je les encourage car il fait déjà très chaud. Enfin la trace facile du GR, je me retourne pour admirer ce gros tas de rocher qu'est le monte d'Oru.

Il fait très chaud, je décide de choisir une vasque avec vue et plouf, quel fraicheur, ça fait du bien ce bain.

Une fois rafraichi, je continue ma descente et je croise beaucoup de monde qui vient passer la journée à faire trempette dans les vasques étonnantes de la cascade des Anglais.
Je rejoins la voiture à la gare de Vizzavona 5 heures après l'avoir quittée. Je suis heureux, très belle randonnée, 500m de dénivelé à l'heure et je me sens en pleine forme.
Je pense que le plat de pâte tomates cerises, basilic, parmesan (fait par Anne http://iterama.blogspot.com) d'hier soir m'a beaucoup aidé.
La semaine dernière du haut de la Punta di l'Oriente, j'avais une vue magnifique sur le Monte d'Oru et cela m'a donné envie d'y faire un tour.
Le Monte d'Oru vue de la vallée du Tavignano
Ce matin réveil 4 heures et c'est parti pour une bonne heure de route pour atteindre la gare de Vizzavona, bien connue des randonneurs du gr20. Il fait encore bien noir quand je quitte la voiture, je suis obligé de sortir ma lampe pour trouver le chemin.
Je marche vite, les oiseaux commencent à chanter au fur et a mesure que l'obscurité se fait plus lumineuse. Et j'atteinds les bergeries ruinées de Pinzutella au moment où le soleil se décide enfin à se lever.
Je quitte la forêt, les choses sérieuses vont commencer, il me reste un peu moins de 900m de dénivelé et pourtant le sommet est si proche (sur la carte). Il faut passer par la Scala qui est un couloir assez raide, envahie par les rochers et où la neige reste souvent tard dans la saison (en cette fin aout, il ne reste plus qu'un névé au pied du couloir).
La montée dans la Scala n'est pas trop dure et justement comme c'est raide, je monte facilement et rapidement. Je dois pousser Tino à plusieurs endroits car il n'arrive pas à escalader facilement.
Le sommet est en vue cela fait un peu plus de 2h00 que que l'on marche, Tino me prévient qu'il y a du monde pas loin et en effet on croise un troupeau de brebis très sympathique.
Je rejoins la voie normale pour terminer l'ascension et passer par la cheminée qui mène au point culminant à 2389m. Tino m'attend en bas, il ne peut pas escalader et puis il y a des brebis à surveiller... de loin.
Je rejoins Tino qui m'attend sagement et on commence la descente par la voie normale. Une petite pause pour déguster quelques gâteaux secs préparées par ma chérie, un petit coup d'œil sur le portable car je suis sensé bosser ce mercredi et je descends en courant, coupant à vue vers le GR20 que j'aperçois plus bas. Je croise les premiers randonneurs qui montent au sommet par la voie normale, je les encourage car il fait déjà très chaud. Enfin la trace facile du GR, je me retourne pour admirer ce gros tas de rocher qu'est le monte d'Oru.
la vallée de l'Agnone, à droite le Monte d'Oru
Le GR20 suit la rivière de l'Agnone qui appelle à la baignade avec ses magnifiques vasques.Il fait très chaud, je décide de choisir une vasque avec vue et plouf, quel fraicheur, ça fait du bien ce bain.
Une fois rafraichi, je continue ma descente et je croise beaucoup de monde qui vient passer la journée à faire trempette dans les vasques étonnantes de la cascade des Anglais.
Je rejoins la voiture à la gare de Vizzavona 5 heures après l'avoir quittée. Je suis heureux, très belle randonnée, 500m de dénivelé à l'heure et je me sens en pleine forme.
Je pense que le plat de pâte tomates cerises, basilic, parmesan (fait par Anne http://iterama.blogspot.com) d'hier soir m'a beaucoup aidé.
(rappel : en cliquant sur les photos vous les verrez en plus grand)
lundi 17 août 2009
Tel un Robinson...
mercredi 12 août 2009
Punta di l'Oriente
Fin de la pause blog et retour des randonnées et autres petits plaisirs de la vie
Ce matin debout de très bonne heure (4 heures) pour faire un tour sur le sommet qui m'appelle depuis quelques mois : la punta di l'Oriente (2112m). Sur la même ligne de crête que le Monte Renosu, j'ai décidé d'attaquer l'Oriente par la ligne de crête montant de Ghisoni.
Départ de 900m d'altitude alors que la nuit est encore noire sur le bon chemin qui monte aux bergeries de Cardu. Je passe les bergeries une petite heure plus tard alors que le berger ronfle... le soleil lui ne va pas tarder à se lever au dessus de la mer Thyrénienne.
La nuit fait place à la lumière, et quelle lumière !

Ci dessus le Monte d'Oru .
Il ne fait pas encore chaud, je peux continuer à monter rapidement vers le sommet.
Voilà le sommet tant convoité
Enfin après 2h30 et 1200m de denivellé j'arrive au sommet et je vois la mer des 2 côtés.
Je redescends vite fait et à 11h je suis de retour à la maison, pour repartir illico à ... la plage
Ce matin debout de très bonne heure (4 heures) pour faire un tour sur le sommet qui m'appelle depuis quelques mois : la punta di l'Oriente (2112m). Sur la même ligne de crête que le Monte Renosu, j'ai décidé d'attaquer l'Oriente par la ligne de crête montant de Ghisoni.
Il ne fait pas encore chaud, je peux continuer à monter rapidement vers le sommet.
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